Elles ont pour la plupart 2 à 3 niveaux de caves gothiques, dont celle du no 80 qui est classée le 3 février 1966[Gal 8]. La résolution du problème social et culturel passe par la revitalisation du quartier en renforçant l’activité commerciale et en développant le tourisme par la création de boutiques artisanales, de restaurants et d'hôtels. Cette nécropole sera le chemin d’entrée et de sortie de la ville romaine à l’est. Dans son castrum une église cathédrale Saint-Maurice est construite au IVe siècle par Lidoire, sur les restes d'un ancien temple romain. La ville subit également de terribles bombardements alliés hors du Vieux Tours : tous les quartiers entre la Loire et le Cher sont sinistrés. Hôtel Babou, XVIe s., 8 place Foire-le-Roi, Hôtel Thomas Tacquin, XVe s., place Foire-le-Roi, Hôtel Ronsard, XVIe s., place Foire-le-Roi, Maison de brique, XVIe s., place Foire-le-Roi, La porte Neuve ou bastille Saint-Vincent. Marie de Bragelongne, épouse de Claude Bouthillier de Chavigny et mère de Léon Bouthillier, reçoit de Louis XIII par lettres patentes le droit de création d'un couvent des Capucines rue de la Bourde en 1623. Le miracle dit de la subvention de Saint Martin met en fuite les Normands et sauve la ville, la construction de l'église Saint-Martin-de-la-Bazoche sur le lieu de l'événement en rappellera le souvenir[44]. La place se fermait à l'est aujourd'hui le no 5 par l'église Notre-Dame de l'écrignole [179]. Faute d'argent tous ces aménagements ne furent réalisés qu'au début du XXe siècle[Den 19]. Une porte fortifiée du XIe siècle de l'enceinte de Châteauneuf dite de Saint-Denis en référence à l'église Saint-Denis toute proche fermait la rue du change au niveau des actuelles maisons des no 8 et no 5, Les arrêtés d'octobre et novembre 1806 en prescrivirent sa démolition pour améliorer la circulation de la rue, Le plan d'alignement de la rue de 1818 approuvé par ordonnance royale du 2 août 1820 constate que le portail au milieu de la rue a été démoli depuis peu Au IXe ou au Xe siècle, est fondée l’église Saint-Pierre-des-Corps, nom donné par sa proximité avec l’ancienne nécropole à incinération. De ce fait, par exemple, l'îlot en haut de la rue Nationale où les bombes et le nivellement avaient mis au jour un temple gallo-romain des Ier et IIe siècles, de cinquante mètres de diamètre environ, fut détruit sans scrupule devant l'urgence[59]. Le secteur sud-ouest entre les rues des Halles, Marceau, Nationale et le boulevard Béranger ; le secteur sud-est entre le boulevard Heurteloup et les rues Nationale, de la Scellerie et Bernard Palissy; le secteur entre la rue des Amandiers, de la Barre, place François Sicard et le périmètre du château à la tour Feu-Hugon ; le secteur de la cathédrale au centre, composé d'un ensemble monumental comprenant la, le secteur canonial entourant l'ensemble cathédral qui conserve encore des édifices intéressants de l’époque médiévale et de la Renaissance, fortement remaniés au cours du temps. Toutes les maisons ont des façades classique ou néoclassique en pierre de tufeau et les cours intérieures montrent leurs structures XVe et XVIe siècles et leurs façades arrières, à pans de bois[90]. Au milieu du XVIIIe siècle, l’enceinte du XVIIe siècle, déjà obsolète, est aménagée en promenade, et les deux parties de l'ancien faubourg Notre-Dame-la-Riche et Sainte-Anne sont réunies à la suite du percement du rempart en 1752. La place compte encore aujourd'hui un nombre important de monuments protégés, comme l'hôtel de Jean Galland ou l'hôtel du 17 de la place du XVIIIe siècle mais aussi des maisons à pan de bois XVe siècle et XVIe siècle au nos 1, 3, 5, 7, 9, 11, 23 avec façade en bois ou en pierre ainsi qu'une rare maison en brique au no 18 du XVe siècle. : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article. Elle est agrandie en 1895, ce qui nécessite la destruction de plusieurs habitations. Elle constituait auparavant, avec la rue du Commerce et la rue Colbert une partie de la Grande-Rue, axe principal de la ville[73]. L'hôtel de préfecture d'Indre-et-Loire recevra dans le salon Choiseul, entre autres Honoré de Balzac, Napoléon III, Léon Gambetta, Winston Churchill, Charles de Gaulle et Jean-Paul II. Découvrez le Musée des Beaux-Arts de Tours et son impressionnante collection de peintures du XIX et XXème siècle. Dès 1430, le pouvoir royal choisit la ville de Tours comme capitale du royaume, ce qui stimule et accentue la poussée de la reprise économique et démographique qui suit la fin de la guerre de Cent Ans. En face aux no 23 et no 21,deux hôtels du XVIIIe siècle de très grande qualité, au no 23 l'Hôtel de Boisleroy du tout début du XVIIIe siècle, Vers l’an mil, la Cité est le siège du pouvoir politique et épiscopal de la ville. À la suite de l'église au no 10 se trouvait l'hôtel Gazil[96] de la fin du XVIe siècle avec sa galerie de 7 arcades[Den 6]. On aime Après avoir été reçu par Pierre Sudreau, ministre de la Reconstruction, en novembre 1960, Pierre Boille est chargé de réaliser une étude pour mettre au point une méthode de sauvegarde qui pourrait être étendue aux quartiers de nos villes ou villages anciens. Au début du XX siècle, la loi impose les plans d’embellissement (PAEE) pour les villes. Au XIVe siècle le franc à cheval Frappé à trois millions d'exemplaires, il va servir à payer la rançon du roi Jean II le Bon. En 1356, le quartier est réuni dans une enceinte commune, dite la clouaison, qui sera unifiée en 1462 par la création de la municipalité de Tours. Place de Châteauneuf, rue des Halles, hôtel XVII-XVIIIe s. La place Foire-le-Roi était à l'origine plus vaste, formant une dépression montant graduellement de la Loire vers la Grande-Rue[Jea 2]. La rue Briçonnet croise la rue du Murier anciennement au XVe siècle des Apprentis dans les Titres et rue du Murier au XVIe siècle qu'elle a gardé depuis [Den 18], rue résidentielle où on croise nombre d'hôtels dont celui du no 5 rue du Murier du XVe siècle avec sa tourelle d'escalier en pierre dans la cour. L'ensemble de ces maisons en pans de bois ou en pierre très anciennes du XIVe siècle au XVIIe siècle ont été aussi très remaniées au XIXe siècle surtout pour leurs façades sur la place. La rue a conservé de très nombreuses maisons des XVe siècle et XVIe siècle, tout le front bâti date de cette époque. L'enceinte ne sera vraiment commencée que sur ordre d'Henri IV et terminée en 1690 [Jea 1]. PLAN DU CENTRE-VILLE VISITES, DÉCOUVERTES lilletourism.com LE VIEUX-LILLE THE OLD LILLE LES BALADES GOURMANDES CITY PASS CITY TOUR CITY TOUR BY COACH LE BEFFROI DE L’HÔTEL DE VILLE DE LILLE THE LILLE TOWN HALL BELFRY Partez à la découverte des quartiers anciens et appréciez les charmes d’une cité animée et accueillante. Alors que débutent les travaux de reconstruction, le travail de réflexion sur la rénovation des quartiers ouest, moins touchés par les destructions du dernier conflit mondial, se poursuit. Le secteur entre la rue des Tanneurs et la Loire est complètement remplacé par la construction de l'université et de nombreux logements. tours des légendes et des hommes, Jean pierre Minnaert, page 134. tours des légendes et des hommes, Jean pierre Minnaert, page 135. L'art de la Renaissance importée d’Italie dès le début du XVIe siècle influence l'architecture de ces hôtels, mais reste presque totalement absent dans les maisons à pans de bois[33]. La rue rencontre à la suite la rue des 4 Vents qui était une rue d'auberges, la rénovation des années 1970 a transformé la rue des 4 Vents bien que les maisons qui n'ont pu être restaurées, furent reconstruites en partie à l'échelle de ce qui subsistait [76]. Le Val de Loire a été classé sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO le 30 novembre 2000, en tant que paysage culturel vivant, de Sully-sur-Loire à Chalonnes-sur-Loire. En 1520, François Ier ordonne la construction d'une nouvelle enceinte pour améliorer le problème de l'extension de la ville, enceinte qui ne sera vraiment commencée que par ordre d'Henri IV et terminée en 1690[Jea 1]. La place prit le nom Émile-Zola en 1905 et place François Sicard en 1934 à sa mort, la place et son square réalisé XIXe siècle par les frères Bühler constitue un site inscrit en 1944[187] La place a conservé son caractère architectural et son équilibre du XVIIe siècle, XVIIIe siècle et XIXe siècle que rien n'est venu déparer[188]. Au XIIIe siècle le château et la cathédrale sont reconstruits à l’initiative du roi Louis IX. Le plan de reconstruction de la ville de Tours est approuvé par arrêté ministériel du 6 juillet 1942, mais ne sera pas appliqué. et au no 12[168]. La Grande Rue (axe médiéval et historique qui traverse la vieille ville : actuellement d'ouest en est, les rues Georges-Courteline, du Grand-Marché, du Commerce, Colbert, Albert-Thomas et Blanqui) ainsi que les rues et les places qu'elle rencontre, ont une activité sociale, historique et culturelle importante. La place François-Sicard simple voie de la porte Saint-Étienne de la clouaison, c'est l'agrandissement au sud de cette enceinte au XVe siècle qui transformera cette voie en Place de la Porte Neuve. Au no 17 se trouvait une très grande maison en bois dite la Maison Bleu remarquable construction du XVe siècle ( elle portait ce nom car elle était entièrement recouverte d'ardoise), elle a été reconstruite à la moderne en 1930 [172]. La rue Albert-Thomas, ancienne partie de la grande rue, longue de 275 mètres, a conservé en partie sa largeur d'origine. Au XIIe siècle, le quartier présente une zone peu urbanisée entre trois établissements religieux : l'abbaye de Marmoutier de l'autre côté de la Loire au nord, le prieuré Saint-Loup à l'est, l'église Saint-Jean Descous au sud. La construction en 1845 d’un quartier de cavalerie au nord à l’emplacement de l’ancien mail Preuilly contribue à l’animation du quartier et dynamise son activité commerciale [18], et l'ancien ruau Sainte-Anne est transformé en jardin botanique. La rue fut construite dès 1772, en remplacement des anciennes rues neuve-Saint-Louis, Traversaine, du Bac par Mathieu de Bayeux et Jean Cadet de Limay[147] architectes, entièrement réalisée en pierre de tuffeau, en style néoclassique Louis XVI. La construction de l'Université rue des Tanneurs en 1970 a supprimé la portion de la rue au nord entre la place des Joulins, anciennement rue Simon, et la Loire. À la veille de la Révolution, les deux tours non détruites du château sont reliées par la construction du logis dit de Mars, destiné comme annexe au logis des gouverneurs de Touraine. Mais l’église se trouva peu adaptée à ses nouvelles fonctions, Finalement pas suffisamment entretenue elle se dégrade rapidement et fut détruite pour construire de nouvelles halles vers la fin du XIXe siècle[15]. a bien été enregistrée. Le quartier Saint-Martin doit l'origine de son rayonnement au culte de l’évêque de Tours, saint Martin, mort en 397, où une basilique est édifiée sur sa tombe à la fin du Ve siècle [Gal 1]. et l'Hôtel des ducs de Touraine, le Palais des Duc de Touraine. Cet hôtel es ... Etablissement hôtelier de1 étoile, le Vendôme est situé au cœur de Tours à quelques mètres de la ... C'est un hotel qui compte trois étoiles. En 1902, la rue Mirabeau, destinée à relier les quais aux boulevards aménagés à l’emplacement du mail de l’enceinte du XVIIe siècle, sépare le quartier en deux. Il faut, pour se rendre aux prieurés Saint-Cosme et Sainte-Anne [6], emprunter le pont Sainte-Anne Le 8 novembre 853, les Normands attaquent le Bourg Martin et la Cité, toutes les églises sont incendiées. Jouxtant le quartier de cavalerie devenu la caserne Lasalle [19], le champ de Mars à l'est sert de terrain d’entraînement militaire, mais aussi de foire à bestiaux [20]. Ouvert 11:15 Fermé 09:45 Afin de vous assurer les meilleures conditions de visite et de sécurité . Quartiers du Vieux-Tours Métadonnées Ce fichier contient des informations supplémentaires, probablement ajoutées par l'appareil photo numérique ou le numériseur utilisé pour le créer. Le côté sud qui a conservé sa numérotation de la rue du Grand Marché, présente un équilibre architectural du XVe siècle, XVIe siècle et XVIIe siècle assez remarquable[163], avec la maison d'angle XVe siècle au no 02[164], ou la grande maison en pierre du XVIIe siècle au no 04 qui conserve dans sa cour intérieure un remarquable escalier-galerie du début du XVIIe siècle, et les maisons à pans de bois du XVe siècle et du début du XVIe siècle au no 06[165], L’application du plan se traduit par des opérations importantes de destruction et reconstruction mais aussi de curetage de restauration à cœur d’îlot[68]. Le 12 février 1962, le conseil municipal approuve la proposition du maire de fonder la Société d’économie mixte de restauration de la ville de Tours (SEMIREVIT) , auprès de laquelle Pierre Boille exercera la fonction d’architecte conseil[64] jusqu’en 1973, date de création du Plan de Sauvegarde et de Mise en Valeur. Voir Le quartier Saint-Pierre-des-Corps fait l’objet d’aménagement dans le secteur nord-ouest, dans le cadre de la rénovation urbaine des années 1970-1980 à l'emplacement de la tour Feu Hugon, et de la création d’un jardin public dans les années 1990-2000 en bordure des quais donnant sur la rue Blanqui. Résidence idéalement située au cœur du quartier des Halles dans le Vieux Tours. We recommend booking Marche du Vieux-Port de Quebec tours ahead of time to secure your spot. En face entre les no 1 et no 15 de la rue Albert Thomas ensemble très remanié de maisons XVe siècle et XVIe siècle en colombages avec façades en pierre sur rue XIXe siècle, avec au no 13,15 le petit musée de la typographie[115]. Les bombardements détruisent une partie importante du quartier Saint-Julien et un secteur du quartier Saint-Martin, compris entre la Loire, et les rues de Constantine, Président-Merville, Balleschoux à l'ouest, Néricault-Destouche et Émile-Zola au sud. La Révolution française transforme la ville en commune : le faubourg Saint-Symphorien-des-Ponts-de-Tours ancienne paroisse sur la rive nord de la Loire entre le pont neuf et le pont vieux est inséré dans la commune de Tours. Carroi Saint-Martin, puis Carroi aux Légumes, la délibération municipale d'octobre 1884 lui donna le nom de place de Châteauneuf. Le grand couvent de l'ordre des Minimes fondé par François de Paule dans le parc du château de Plessis-lèz-Tours pose la première pierre d'un nouveau couvent dans le centre de la ville en 1627, aujourd'hui entre les 3 bis rue de la Préfecture et le 12 rue des Minimes. Dès fin 1945, Jean Dorian, ancien collaborateur de Camille Lefèvre, est nommé architecte en chef de la reconstruction de Tours en remplacement de son ancien patron[56]. The building n°2, built in the 15th century, actually housed the Hostellerie St Christopher, which housed the travelers. La rue Briçonnet, longue de 200 mètres, a conservé en partie sa largeur d'origine, anciennement plus longue, la rue partait au sud à l'angle de la grande rue, aujourd'hui la rue du Grand Marché, la création de la place Plumereau au début du XXe siècle a fait disparaītre cette portion de la rue. L'église Saint-François en 1910, entièrement détruite en 1940. Le quartier Saint-Gatien ou la Cité est le premier noyau constitué qui correspond à un périmètre de Caesarodunum, qui va prendre un nouvel essor et se développer dans un castrum à partir du IVe siècle. avec sa double cour intérieure [137]. terminée en 1757, la place Choiseul en 1763, l'avenue de la Tranchée en 1765 et le pont Wilson ouvert en 1779 de la nouvelle route d'Espagne, décidée par Louis XV et Daniel-Charles Trudaine et son fils Jean Charles Philibert Trudaine de Montigny directeurs du Département des Ponts et Chaussées. Au no 50 maison à pans de bois qui n'a pas connu de réalignement au XIXe siècle, alors que les maisons suivantes du no 52 au no 60 ont toutes été reculées d'un demi-mètre[78] avec façades reconstruites en pierre. Le 24 juin 994, le Bourg de Châteauneuf est entièrement détruit par un formidable incendie résultant des combats entre les comtes d'Anjou et les comtes de Blois pour le contrôle de la Touraine, une lutte haineuse entre Foulques III d'Anjou et Eudes qui se terminera à la bataille de Pontlevoy le 6 juillet 1016. Ce cimetière, aujourd'hui place Abbé Payon, anciennement place de la Riche, recevra les corps de saint Gatien et saint Lidoire[5] dans une basilique construite par ce dernier. Le plan d'alignement des rues de la ville de Tours de 1818 fut approuvé par ordonnance royale du 2 août 1820, la place devait donc être agrandie, tout le côté sud jusqu'à la rue de la Rôtisserie devait être démoli. Date: 5 juillet 1783: Source: archives du département d'Indre et Loire, Plan fayot, 1783: Auteur: Pierre Louis FAYOT: Conditions d’utilisation. Elle est successivement nommée carroi aux Chapeaux XIVe siècle, place Saint-Pierre-le-Puellier, place aux Fruits (1816), carroi Saint-Pierre, carroi des Quenouilles. La rue deviendra au Moyen Âge cette rue de la Scellerie, second axe médiéval, la sellaria turonensis terme du XIIIe siècle qui peut expliquer son nom qu'elle a toujours porté[143]. Le Vieux Tours et la place Plumereau : des quartiers historiques… et bien vivants ! Place François-Sicard, façade est, portail de l'Archevêché. Ont peut toutefois remarqué que les façades du no 24,26 sont les plus hautes et dominent la place, car cet ensemble est un grand hôtel en pierre du XIVe siècle au XVIe siècle peu connu, avec dans sa cour intérieure une des plus grandes tourelles d'escalier du Vieux Tours et un système complet d'escalier-galeries du XVIe siècle et XVIIe siècle, un ensemble qui mériterait une très grande restauration. Le vieux Tours s'articule autour d'une seule et même place baptisée place Plumereau. La rue du Commerce a gardé un nombre important de maisons des XVe et XVIe siècles, dans sa partie conservée. Église des Augustins, rue de la Scellerie, en 1940. Une partie de la place devant l'église de l'écrignole renfermait un petit cimetière clos par une fontaine renaissance construite par Alexandre Robin en 1544, composé d'un bassin octogonale en marbre et d'un pilier centrale surmonté d'une boule et une fleur de lys en or [180], Explorez les principaux sites historiques du Vieux-Montréal, imprégnez-vous du charme européen du quartier et apprenez des histoires formidables et véridiques qui ne figurent dans aucune brochure durant une visite de 2 heures moyennant une rétribution volontaire à votre guide professionnel accompagnateur. La maison du no 26 du XVIe siècle a conservé sa structure en bois avec dans la cour un escalier-galerie du XVIIe siècle, la façade en pierre sur rue fut Au début du XIIe siècle, des maisons de bois sont signalées sur les remparts et dans les fossés ; des bourgeois de Saint-Martin commencent à se faire construire des maisons en pierre, dont certaines, à plusieurs étages, à la manière italienne : les maisons-tours[Gal 4], parmi lesquelles la Tour Foubert, aujourd'hui détruite. Le côté nord de la rue Albert-Thomas présente du no 4 au no 10 un très grand bâtiment de casernement construit en 1835 qui présente sur la rue sa façade de 70 mètres, ce grand bâtiment fut restauré dans les années 1990 pour devenir la résidence de l'armoriale. Le vieux Tours . Le côté est de la place présente, entre les nos 54 et 56 le portail d'entrée principal de l'hôtel des trésoriers de Saint-Martin du XVe siècle classé le 19 février 1916[Jea 5], à la suite, du nos 54 au 38 grand et rare ensemble immobilier de maisons à boutiques et grandes arcades en rez-de-chaussée du XVIIe siècle en pierre de tuffeau, réalisé dans le périmètre de l'hôtel des trésoriers de Saint-Martin entre la rue des Halles anciennement de Racan et la rue de la Longue-Échelle. Paris, Union Franco-Belge des Adventistes du Septième Jour, s.d. Pierre Audin, page 9,le quartier de la rue des Halles. Deux périmètres sont délimités : un périmètre de restauration immobilière du quartier Saint-Martin (PRI) de 9 hectares et un périmètre de rénovation-restauration de 13,5 hectares, à l’ouest dans le quartier Notre-Dame-La-Riche, intégrant les préoccupations liées à la préservation des richesses historiques du Vieux Tours et la nécessité de construire des logements neufs et salubres. À l’emplacement de la basilique sont tracées les actuelles rues des Halles , Descartes ; la basilique est reconstruite sur une partie de l'ancien édifice à partir de 1887, sur un plan nouveau de l’architecte Victor Laloux. Le vieux Tours s'articule autour d'une seule et même place baptisée place Plumereau. Le bourg des Arcis se forme entre le XIe siècle et le XIIe siècle, à l'ouest de la cité[Gal 7], favorisé par la construction du pont d'Eudes dans les années 1030. En 1973, le Vieux-Tours bénéficie d'un Plan de sauvegarde et de mise en valeur. BEACH Raymond, Quelques remarques sur les écrits de soeur White. Le 30 juin 903 les Normands incendient le bourg Saint-Martin et l'abbaye Saint-Julien ; ils donnent l'assaut à la Cité où tous les habitants et les chanoines se sont réfugiés dans l'enceinte romaine. En 1958, la ville s’engage dans une démolition en règle des quartiers anciens. La commune de Tours est partiellement inscrite dans le périmètre retenu. L'arrêté municipal du 10 août 1816, la nomma rue du Grand-Marché, car elle avait en particulier le commerce des légumes et des fruits[74]. Situé en centre ville, le quartier le plus vieux de Tours est aussi le plus agréable et le plus au no 14 rue Briçonnet [141] et Avant l'arrêté municipal du 10 août 1816 qui lui confirma son nom de rue du Commerce, elle porta le nom de rue Saint-Saturnin et de l'armée d'Italie[89]. Français : vieux tours,Quartier saint-martin périmètre canoniale, plan 1717 , auteur inconnu, archives de la ville de Tours. La dernière modification de cette page a été faite le 3 février 2021 à 12:19. Pierre Patout est nommé architecte pour le quartier de la Reconstruction qui s’organise autour de la nouvelle place de la Résistance, aménagée à l’ouest de la partie nord de rue Nationale élargie et reconstruite en architecture moderne [58]. La délibération du 10 août 1818, lui maintenait son nom de rue de la Caserne et la délibération municipale du 8 juillet 1932, la nomma rue Albert-Thomas[Den 9]. La place fut aussi le centre du quartier Saint-Gatien qui correspond au périmètre de la cité gallo-romaine, qui va se rétracter et prendre un autre développement dans un castrum à partir du IVe siècle, à l’intérieur de son enceinte gallo-romaine. Cette église fut fondée vers la deuxième moitié du VIe siècle par une fille de Clotaire, fils de Clovis, Son nom de Scrinolium définissait le lieu ou se trouvaient les religieuses chargées de l'entretien des reliques. Le Plan de sauvegarde et de mise en valeur assure la protection du patrimoine de ce site et son harmonie. La loi du 4 août 1962 sur les secteurs sauvegardés s’inspirera de l’expérience tourangelle. Place du Grand-Marché, 3-5 rue de la Serpe, hôtel de Jean Bourdichon. Escalier-galerie XVIe s. La rue Briçonnet se continue en face, des no 26 au no 18 par un ensemble de maisons en pierre et colombage du XIVe siècle au XVIe siècle très transformée au XVIIe siècle et au XVIIIe siècle. Au niveau du no 54, la rue de la Moquerie où se trouve au no 17 un des derniers jeux de paume du XVIe siècle. Le temps d’une journée, laissez-vous tenter par une visite du Vieux Tours et plongez au cœur de l’intimité de cette cité pour un séjour placé sous le signe de la découverte et de la détente.. Vieux Tours, des quartiers au charme incomparable! Au XIe siècle, une nouvelle basilique Saint-Martin est reconstruite. Le chantier de déblaiement et de démolition des ruines commence en juillet 1940, sans aucune tentative de sauvegarde ou de relevé architectural, et s’achèvera en novembre 1941 par les dernières façades encore debout, celles de l’ancien Hôtel de Ville et de l’ancien Muséum d’histoire naturelle. Pierre Audin, le quartier de la rue du Commerce, page 15. Cette maison avoisinait en face sur la place des halles anciennement de Saint-Clément , l’église Saint-Clément qui fut bâtie au XIIe siècle, reconstruite et embellie en 1462 sur décision de Jean Briçonnet puis de nouveau modifiée au XVIe siècle.